Bougies, menottes et...
mercredi 29 avril 2009
Shopping
mardi 28 avril 2009
Prise de pouvoir
dimanche 26 avril 2009
Maîtresse et Lady Valou
Dès mon arrivée en tenue, Maîtresse me passa mon collier et attacha la laisse. Je m'appliquais tout de suite à baiser et lécher ses magnifiques bottes, mais très vite Maîtresse me mit entre les les mains de Lady Valou. Je léchais et embrassais servilement ses pieds chaussés dans de très beaux escarpins à petits talons. Lady Valou semblait apprécier... Elle me fit lécher et sucer les doigts de sa main gauche, et je dois dire que cela me procura un réel plaisir.
Je sentais le talon d'une botte de Maîtresse "jouer" avec mon dos, c'est une sensation fantastique que seul un soumis peut connaître. Par un mouvement de laisse je fus guidé vers le sexe de Lady Valou. Je m'appliquais donc à faire immédiatement ce qu'on attendait de moi. J'espère l'avoir bien fait. Lady Valou décida ensuite de me faire lécher son petit trou. Je m'y suis appliqué tout autant, pour lui faire plaisir et surtout pour faire plaisir à Maîtresse. Elle me prêtait, il était hors de question de ne pas me montrer à la hauteur.
Grâce à la photo, je sus que c'était Maîtresse qui me préparait :-). Je fus ensuite guidé par la laisse vers le bout du canapé. Je sais maintenant ce que cela signifie pour moi : je vais être pris. Je ne voyais rien, mais je supposais en toute logique que c'était Lady Valou qui allait me posséder.
Et c'est bien ce qui s'est passé, la preuve en image :-)... J'ai senti une différence entre Maîtresse et Lady Valou... Et, chose que je n'aurais jamais cru il y a encore quelques semaines, je crois que je commence à apprécier d'être sodomisé... par une Maîtresse j'entends...
Ce fut ensuite un petit moment de détente. Maîtresse et Lady se parlaient, j'étais à quatre pattes à leurs pieds. Au fur et à mesure de la discussion, je sentais des mains me caresser le dos ou les fesses (je ne savais pas de qui il s'agissait, de Maîtresse ou de Lady ou des deux), puis j'ai sentis la botte de Maîtresse se frotter sur mon dos. C'était tout bonnement merveilleux. J'étais aux pieds de deux Maîtresses, elles se servaient de moi comme d'un pouf, d'un repose pieds, j'étais à ma place. Mon Dieu quel moment de bonheur !!! Je les entendais parler et vanter mon obéissance et d'autres choses encore... Quelle fierté... Merci Maîtresse...
Je n'existe que pour le plaisir de ma Maîtresse, j'espère lui avoir fait honneur ce soir, mais en tous cas, je sais que Maîtresse et Lady Valou s'apprécient...
Vivement la prochaine soirée Maîtresse, je suis toujours plus motivé pour vous obéir et vous satisfaire.
jeudi 23 avril 2009
De quoi sera fait demain ?
lundi 20 avril 2009
Une semaine plus tard
Durant une semaine nous avons continué à dialoguer par l'intermédiaire d'internet, entre midi et le soir. Maîtresse faisait connaissance avec moi de plus en plus précisément. Elle décida, dans la semaine de me voir à nouveau le vendredi soir.
Maîtresse me donna l'ordre de lui enlever une de ses bottes et là, j'eus droit à une récompense merveilleuse pour un soumis : embrasser le pied de sa Maîtresse. Je le pris délicatement entre les mains et j'y pressais mes lèvres, je couvrais ce pied magnifique de doux baisers, je le suçais, je le pris en bouche. J'avais envie qu'il me piétine, qu'il m'écrase, quel instant magique j'étais encore en train de vivre...
Maîtresse me tira ensuite par la laisse et me guida vers son entrejambe. Elle n'avait besoin de ne me donner aucun ordre. Je savais ce qu'Elle attendait de moi. Maîtresse aime que je lui donne du plaisir ainsi et je me suis immédiatement employé à La satisfaire, et je crois que Maîtresse me permettra de recommencer.
Ce soir fut décidément les soir des grandes premières. Maîtresse m'a fait l'honneur de ses premiers crachats... J'adore, sur le corps ou plus encore, dans la bouche. Elle s'amuse à promener la laisse autour de ma bouche, puis ce furent ses doigts, qu'Elle me fit sucer : que du bonheur. Enfin, Maîtresse me permit de lui caresser les seins avec mon sexe. Je sus quelques jours plus tard que c'est un privilège qu'Elle n'accorderait qu'à moi, en tant que soumis attitré.
Merci Maîtresse, vous m'avez fait passer une nouvelle soirée merveilleuse et je ne vis plus que dans l'attente de la suivante.
samedi 18 avril 2009
Première soirée
Maîtresse me présenta alors sa botte droite. Je la pris entre les mains et commençais à la baiser et la lécher... sans trop d'assurance. C'était notre première rencontre, je sentais déjà que c'était peut-être le début d'une longue histoire et je mourais de peur de la décevoir.
Maîtresse me fit ensuite enlever ses bottes, ce dont je m'acquittais avec délicatesse (surtout ne pas la décevoir). Ses bottes enlevées, je commençais à faire ce que tout soumis digne de ce nom doit faire, baiser ses pieds et les masser pour relaxer Maîtresse. Des coups de martinet venaient rythmer chacun de mes gestes... mon Dieu que c'était bon, Maîtresse savait comment se servir d'un martinet.
jeudi 16 avril 2009
Vers une nouvelle histoire ?
Cela faisait quelques jours que je dialoguais avec une Dame sur internet. Les échanges étaient d'abord assez banals mais avec le temps je sentis que quelque chose se passait. La fréquence de nos entretiens s'intensifiait en même temps qu'ils devenaient plus précis en abordant la relation D/s, jusqu'au moment où Madame me dit qu'elle souhaitait m'essayer comme soumis. Je croisais les doigts et priais afin que ce souhait devienne une réalité.
A partir de cet instant les choses étaient claires et une date fut décidé par Madame. Nous devions nous voir le soir du... 11 avril.
mercredi 15 avril 2009
Retrouvailles
Lorsqu'Elle eut finis son regard croisa le mien. Elle me fit signe d'approcher, me mit à quatre pattes et me cravacha les fesses. Je supporte moins bien la cravache que le martinet, mais c'était un tel bonheur pour moi d'être à nouveau entre les mains de Lady Pheno que je souhaitais que ce moment ne s'arrête jamais. Elle me griffa ensuite le dos comme je ne l'avais jamais été jusqu'à présent, d'une façon rapide et très puissante (j'en ai gardé les marques pendant deux semaines). Elle se mit ensuite assise sur mon dos et après un petit moment, je sentis quelque chose glisser entre mes fesses (le lubrifiant). Lady Peno me sodomisa avec ses doigts pendant que je léchais frénétiquement ses bottes. C'était un peu comme si je voulais effacer en quelques minutes mes erreurs commises par le passé (Lady Pheno m'avait reproché de ne pas être assez motivé pour lécher ses bottes). Elle me fit ensuite lécher le gant qu'Elle venait d'utiliser, puis Elle me dit :"allez, c'est fini..." et me repoussa vers un mur. Voilà, c'était terminé, je venais de vivre mon plus beau moment depuis des mois, depuis que je n'était plus son soumis, mais je devais vite revenir à la réalité, c'était terminé.
vendredi 10 avril 2009
... encore déçu
Je suis venu chez Maîtresse quatre fois en deux semaines. Je faisais ses courses, ses lessives un peu de ménage... et Maîtresse a joué une fois avec moi, jeu où elle m'a fait découvrir une pratique que je ne connaissais pas encore : la bougie.
Malheureusement nous n'avons pas été plus loin. En effet chaque rencontre était prétexte à une participation financière, paiement systématique des courses, aide ponctuelle réclamée (150 euros) pour finir sur une demande de 500 euros pour une participation au loyer.
Là encore Lady Pheno m'a été d'un grand secours, bien qu'elle ne fut pas au courant de cette histoire. Mais elle m'avait dit, lors de notre première entrevue, qu'elle dominait pour le plaisir, que c'était une façon de vivre pour elle, et qu'à ce titre elle se faisait un point d'honneur à n'imposer aucune dépense à ses soumis (sauf pour les choses qui servent directement au soumis, comme le tenue qu'elle m'a choisi par exemple). Je me suis dit que Maîtresse "S" ne m'avait pas vraiment pris que pour le plaisir de me dominer. J'ai donc décidé de cesser de la voir et évité ainsi sans doute de me mettre dans une situation financière compliquée.
Merci à vous Lady Pheno
jeudi 9 avril 2009
Un nouvel espoir...
Quelques jours plus tard (un samedi), je me rendis à ce club dans le 3ème arrondissement, il était 14h00. A l'entrée je fus reçu par Maîtresse "S". C'était la première fois que nous nous voyions. Maîtresse "S" était une belle jeune Femme d'une trentaine d'année, grande et fine, de type oriental avec de longs cheveux noirs. Elle était vêtue d'une robe longue serrée à la taille, fendue jusqu'en haut de la cuisse gauche, et chaussée de bottes en cuir noir à talons aiguilles. Elle m'indiqua une petite pièce pour me changer. Lorsque je sortis, ma tenue (la même qu'avec Lady Pheno) l'étonna agréablement. Elle la trouva très jolie, de ce fait elle me donna instantanément un nom de soumis :"Jolly, ce sera ton nom". Elle me passa le collier, attacha la laisse et me fit descendre ainsi au bar où un buffet était dressé. Maîtresse "S" prit place sur un tabouret et me fit mettre à ses pieds. Les gens arrivaient régulièrement et Maîtresse quittait souvent sa place pour les accueillir. Elle me fit donc faire la connaissance de trois de ses amies Dominas et me confia à elles.
Je passai donc une bonne partie de l'après-midi entre les mains des amies de Maîtresse. Je fus insulté et promener en laisse un peu partout. Une de ces Dominas me fit longuement lécher ses chaussures puis lécher et masser ses pieds pendant que Maîtresse "S" faisait une démonstration de bondage. A un moment, alors que je servais de repose pieds, je vis une jeune Femme venir s'asseoir sur un canapé derrière moi. Je ne tardai pas à sentir des talons commencer à me griffer le dos. C'était cette Dame, sans nul doute. Cela dura un petit moment et je ne bougeai pas. Puis la jeune Femme se pencha vers moi et me dit à l'oreille de baisser mon short, mon string et d'écarter les fesses avec les mains, ce que je fis. Je sentis alors le talon de sa chaussure s'insinuer en moi. Elle me prit ensuite par la tête pour me faire tourner vers elle, et, toujours à genoux, me fit lécher ce talon aiguille. Elle me le fit lécher longuement et s'amusa à imprimer des pressions du pied pendant que je suçais servilement. Puis elle se leva et s'en alla sans un mot, sans un regard.
Je restai un moment tout seul. Maîtresse "S" me prit par la laisse et me mit dans une cage à un niveau inférieur pendant qu'elle flagellait un soumis au martinet. Une fois terminé, elle me fit sortir de la cage et me mit en appui sur un mur. Elle baissa mon short et commença à me fouetter les cuisses, les fesses, le dos avec son martinet. Ce fut assez long et plus les coups tombaient plus ils étaient forts. Comme Lady Pheno, Maîtresse "S" s'arrêtait de temps en temps pour me caresser les fesses et je ressentis à chaque fois cette délicieuse sensation de plaisir et de douceur. Quand elle eut fini, je me mis à quatre pattes pour baiser ses bottes, elle appuya sur mes épaules pour me faire mettre à plat ventre et se mit à me piétiner le dos. Je sentis ses talons s'enfoncer dans ma chair. C'était ma première expérience de ce type, j'aimais beaucoup, c'était bon.
mercredi 8 avril 2009
Triste fin d'année
Je passais le Nouvel An seul, en tête à tête avec le téléviseur. Je ne m'étendrais pas plus sur cet "inoubliable" passage à 2009.
Lady Pheno, je pense à vous.
Que me réserve cette nouvelle année ?
jeudi 2 avril 2009
Lady Pheno, épilogue d'une merveilleuse et douloureuse histoire
La journée passait et aucune nouvelle de Maîtresse. Mon inquiétude grandissait au fur et à mesure du temps. Je décidais de provoquer le dialogue en envoyant sms dans l'après-midi, pour lui demander l'autorisation de lui téléphoner. La réponse fut rapide et sans appel : "non". Mon inquiétude était en train de tourner à l'affolement.
Ce fut en début de soirée que je reçus un message de Maîtresse. Elle y énumérait toutes les fautes que j'avais accumulé ces dernières heures : l'avoir obligé de me donner rendez-vous à la sortie du restaurant parce que je n'étais pas capable de me rendre tout seul à la soirée ; ne pas avoir su trouver la place pour me mettre à ses pieds ; avoir gémis lors du travail anal ; avoir provoqué la chute de "M." ; avoir quitté le sous-sol alors que j'étais puni et avais l'ordre de ne pas bouger ; avoir envoyé deux sms alors que, dès le début de ma soumission, Maîtresse m'avait bien spécifié : pas plus d'un sms par jour. Maîtresse poursuivait son message par quelques phrases où elle exprimait sa colère vis à vis de cette attitude impardonnable et terminait par : "à partir de maintenant tu n'es plus un de mes soumis".
Je l'ai lu trois fois cette phrase. Je me suis d'abord dit que j'avais manquer des mots, que j'avais lu trop vite. Finalement non, la phrase était complète et cohérente. Alors j'ai relu les phrases précédentes, peut-être avais je loupé quelque chose. Maîtresse me disait peut-être que ça ne serait que pour une période... Non... Il n'y avait aucune alternative
Je suis resté un long moment devant mon écran, le regard fixe, hagard. J'ai été pris à la poitrine, oppressé, anxieux, affolé ce n'était pas possible, ça ne pouvait pas être vrai, ça allait continuer...
Puis j'ai senti une petite douleur à la gorge en même temps que mes yeux se sont humidifiés, et j'ai pleuré. Les larmes coulaient toutes seules, sur chaque joue, pendant que je continuais à regarder le message, livide. Puis j'ai commencé à hoqueter et je me suis effondré. Quelques instants plus tard, après avoir essayé de récupérer, je me suis dit qu'il fallait faire quelque chose. Je savais que Maîtresse ne reviendrait pas sur sa décision, mais je ne pouvais pas rester sans rien faire. Peut-être qu'en implorant sa pitié, en proposant qu'elle me reprenne pour une période d'essai, qu'elle me laisse encore une toute petite chance quoi...Message, sms, coups de téléphone, rien n'y a fait.
J'étais anéanti. Tout allait si bien. J'avais enfin trouvé ma voie, avec une Maîtresse sublime. J'aimais vivre, je m'épanouissais au travail et dans chaque moment de la vie depuis que Maîtresse Pheno me dominait. Cela faisait tant d'année que j'attendais ça... Je ne pensais plus qu'à ce qui venait de m'arriver. J'étais physiquement au travail mais absent moralement, incapable de faire quoi que ce soit. Je me levais avec Maîtresse, je travaillais avec Maîtresse, je dormais avec Maîtresse... Très vite je me suis dit que la vie ne pouvait plus continuer ainsi. Ce n'est pas facile de penser à ça, ce n'est pas facile de le dire, mais j'étais dans un tel désarroi que j'avais la ferme intention de mettre fin à mes jours. J'ai mis une journée à y penser, à savoir comment faire, où le faire et quand le faire. Tout devait s'arrêter où tout avait commencé, à la station de métro qui m'avait permis de voir, de rencontrer le première fois Maîtresse. En début de soirée j'enverrais un mail à Maîtresse pour lui demander pardon de mon geste, je passerais la soirée et la nuit à boire et faire une "méga fête", et au petit matin, vers 05h30, lors des premières rames, je partirais. C'était un bon plan. Maintenant il fallait prendre la décision, choisir le jour...
Une amie était au courant de ma vie "secrète". Elle a rapidement remarqué mon abattement et m'a pris entre quatre yeux un matin. Elle a vu que j'allais mal et s'est doutée que je risquais de faire une bêtise. Après s'être parlé franchement pendant un moment, elle m'a ramené à la raison : la vie devait continuer et je me devais d'aller plus loin dans la recherche de mon plaisir.
Alors j'ai décidé de continuer, mais Maîtresse Pheno, pardon, Lady Pheno (je ne lui appartenait plus) était toujours en moi.