mercredi 29 avril 2009

Shopping

Cette après-midi j'ai fait quelques courses. En effet, Maîtresse m'avait suggéré que l'emploi de menottes ne serait peut-être pas sans intérêt pour nos jeux. Je me suis donc mis en quête de cet accessoire, tout en faisant attention au prix, car Maîtresse m'a mis en garde sur cet aspect bien particulier. Elle ne veut pas me faire faire des dépenses trop importantes.
J'ai donc fait plusieurs boutiques afin de comparer les prix. Maîtresse avait raison, j'ai trouvé exactement le même article pour 12 euros de moins, contrat rempli, je suis heureux... Mais bon, en faisant le tour des rayons, je suis tombé sur un petit quelque chose qui devrait (logiquement) faire plaisir à Maîtresse. Je n'ai donc pas pu résisté et je l'ai pris.

Maîtresse s'amusera sans doute beaucoup avec... moi certainement moins.. quoique.... :-)

Bougies, menottes et...

mardi 28 avril 2009

Prise de pouvoir


Je pense à cette soirée de vendredi. J'y pense même très souvent. Elle a été très particulière et je crois qu'elle a marqué un tournant dans ma vie de soumis. Dès ma première soirée, c'était évident : j'appartenais à Maîtresse et j'en étais heureux. Mais là, c'est différent, un pas de plus a été franchi. C'est ce que je ressens en tant que soumis.

Lorsque, sur les ordres de Maîtresse, je me suis soumis à Lady Valou, lorsque, pendant que je baisais ses pieds, je sentais la botte de Maîtresse sur mon dos, lorsque j'entendais Maîtresse parler de moi à Lady, lorsqu'elles m'ont fessé toutes les deux, jamais je ne me suis senti aussi soumis à une Maîtresse qu'avec Maîtresse Hawke.

Maîtresse, vous avez définitivement pris possession de mon corps et de mon âme. Je vous appartiens, au sens le plus fort du verbe, je mets ma vie entre vos mains.

dimanche 26 avril 2009

Maîtresse et Lady Valou

Je suis arrivé vers 22h00. A peine avons nous eu le temps d'échanger quelques mots que le couple invité se présentait. Maîtresse les fait entrer et me présente à une très belle jeune Femme et son compagnon. La soirée a commencé par une sympathique discussion autour d'un verre de Champagne et de délicieux petits toasts. En fait Maîtresse n'avait encore jamais rencontré ses invités, c'était une première. L'ambiance était très détendue et Maîtresse vint vite au coeur du débat. Bien vite Elle m'intima l'ordre de me mettre en tenue, chose que je fis immédiatement.


Dès mon arrivée en tenue, Maîtresse me passa mon collier et attacha la laisse. Je m'appliquais tout de suite à baiser et lécher ses magnifiques bottes, mais très vite Maîtresse me mit entre les les mains de Lady Valou. Je léchais et embrassais servilement ses pieds chaussés dans de très beaux escarpins à petits talons. Lady Valou semblait apprécier... Elle me fit lécher et sucer les doigts de sa main gauche, et je dois dire que cela me procura un réel plaisir.

Je sentais le talon d'une botte de Maîtresse "jouer" avec mon dos, c'est une sensation fantastique que seul un soumis peut connaître. Par un mouvement de laisse je fus guidé vers le sexe de Lady Valou. Je m'appliquais donc à faire immédiatement ce qu'on attendait de moi. J'espère l'avoir bien fait. Lady Valou décida ensuite de me faire lécher son petit trou. Je m'y suis appliqué tout autant, pour lui faire plaisir et surtout pour faire plaisir à Maîtresse. Elle me prêtait, il était hors de question de ne pas me montrer à la hauteur.


Puis Maîtresse a voulu m'offrir à son hôte. Je l'ai senti, Elle me préparait... Je sentais le lubrifiant entre mes fesses et tout de suite après, je me sentais fouillé, mais je ne savais pas par qui...

Grâce à la photo, je sus que c'était Maîtresse qui me préparait :-). Je fus ensuite guidé par la laisse vers le bout du canapé. Je sais maintenant ce que cela signifie pour moi : je vais être pris. Je ne voyais rien, mais je supposais en toute logique que c'était Lady Valou qui allait me posséder.

Et c'est bien ce qui s'est passé, la preuve en image :-)... J'ai senti une différence entre Maîtresse et Lady Valou... Et, chose que je n'aurais jamais cru il y a encore quelques semaines, je crois que je commence à apprécier d'être sodomisé... par une Maîtresse j'entends...

Ce fut ensuite un petit moment de détente. Maîtresse et Lady se parlaient, j'étais à quatre pattes à leurs pieds. Au fur et à mesure de la discussion, je sentais des mains me caresser le dos ou les fesses (je ne savais pas de qui il s'agissait, de Maîtresse ou de Lady ou des deux), puis j'ai sentis la botte de Maîtresse se frotter sur mon dos. C'était tout bonnement merveilleux. J'étais aux pieds de deux Maîtresses, elles se servaient de moi comme d'un pouf, d'un repose pieds, j'étais à ma place. Mon Dieu quel moment de bonheur !!! Je les entendais parler et vanter mon obéissance et d'autres choses encore... Quelle fierté... Merci Maîtresse...

Je n'existe que pour le plaisir de ma Maîtresse, j'espère lui avoir fait honneur ce soir, mais en tous cas, je sais que Maîtresse et Lady Valou s'apprécient...



Vivement la prochaine soirée Maîtresse, je suis toujours plus motivé pour vous obéir et vous satisfaire.

jeudi 23 avril 2009

De quoi sera fait demain ?

Maîtresse m'a dit cette semaine qu'Elle compte me voir demain pour une nouvelle soirée. Elle y a également invité un couple (elle Domina et switch, lui soumis). J'appréhende un peu cette soirée. Certes avec Lady Pheno ou Maîtresse "S" j'ai été dominé en présence d'une foule de gens. Mais cela se passait dans de grands espaces publics et si beaucoup regardaient, personne ne participait. Mais demain je vais me trouver dans un petit espace privé avec Maîtresse et une autre Domina. Cela me trouble un peu, j'appréhende mais je suis également très curieux de voir comment cela va se passer. Finalement j'ai très envie d'y être, j'ai une confiance aveugle en Maîtresse et je ferai en sorte que son plaisir soit total demain soir.

lundi 20 avril 2009

Une semaine plus tard


Durant une semaine nous avons continué à dialoguer par l'intermédiaire d'internet, entre midi et le soir. Maîtresse faisait connaissance avec moi de plus en plus précisément. Elle décida, dans la semaine de me voir à nouveau le vendredi soir.
Je me présentais chez Elle vers 21h30. Nous avons conversé un peu dans son salon, puis je la vis se lever, aller chercher mon collier et me le passer : il était temps que je prenne ma place. Je m'éclipsais rapidement dans une pièce contiguë afin de revêtir ma tenue de soumis.

Quelques secondes plus tard j'étais aux anges, aux pieds de Maîtresse à lécher ses bottes. Je passais la main sous la semelle d'une chaussure et je sentis qu'au contraire de la fois dernière, Maîtresse n'hésitait plus et accentuait sa pression sur la main. Mon Dieu que j'aime ça ! Je sens toute la puissance et l'autorité de Maîtresse. Pendant que je continuais de rendre hommage à ses bottes, Maîtresse me gratifiait de merveilleux coups de martinet (bien que je les trouve encore un peu trop doux pour moi). Puis je sentis, alors que j'embrassais toujours la botte, le talon de l'autre me griffer le dos. Nouvelle sensation que j'adore, comme tout ce me fait Maîtresse.






Maîtresse me donna l'ordre de lui enlever une de ses bottes et là, j'eus droit à une récompense merveilleuse pour un soumis : embrasser le pied de sa Maîtresse. Je le pris délicatement entre les mains et j'y pressais mes lèvres, je couvrais ce pied magnifique de doux baisers, je le suçais, je le pris en bouche. J'avais envie qu'il me piétine, qu'il m'écrase, quel instant magique j'étais encore en train de vivre...










Maîtresse me tira ensuite par la laisse et me guida vers son entrejambe. Elle n'avait besoin de ne me donner aucun ordre. Je savais ce qu'Elle attendait de moi. Maîtresse aime que je lui donne du plaisir ainsi et je me suis immédiatement employé à La satisfaire, et je crois que Maîtresse me permettra de recommencer.




Maîtresse décida de me récompenser. Elle me sodomisa avec ses doigts, son gode ceinture et un plug. J'ai eu droit à Ses ongles sur mon dos. Ongles qui ont laissés de magnifiques marques, hélas trop vite disparues (à peine deux jours) Maîtresse me gratifia aussi d'un délicieux travail des seins (celui-là je m'en souviens encore un peu en me passant les mains dessus). Elle me fit ensuite lécher son petit trou, encore un très grand honneur pour moi.






Ce soir fut décidément les soir des grandes premières. Maîtresse m'a fait l'honneur de ses premiers crachats... J'adore, sur le corps ou plus encore, dans la bouche. Elle s'amuse à promener la laisse autour de ma bouche, puis ce furent ses doigts, qu'Elle me fit sucer : que du bonheur. Enfin, Maîtresse me permit de lui caresser les seins avec mon sexe. Je sus quelques jours plus tard que c'est un privilège qu'Elle n'accorderait qu'à moi, en tant que soumis attitré.




Merci Maîtresse, vous m'avez fait passer une nouvelle soirée merveilleuse et je ne vis plus que dans l'attente de la suivante.


samedi 18 avril 2009

Première soirée

Je partis en cette soirée du 11 avril vers 20h30 pour rejoindre le domicile de Maîtresse (Madame m'avait prié de l'appeler ainsi lors de nos derniers échanges virtuels). Après une petite heure de trajet j'arrivais. La porte s'ouvrit et je me trouvais en face d'une très belle jeune Femme d'une trentaine d'année, vêtue d'une belle robe noire serrée mettant en valeur sa silhouette magnifique, et chaussée d'une non moins magnifique paire de bottes également noires. J'entrais et lui baisais immédiatement la main en m'inclinant servilement. Maîtresse me fit entrer dans son salon et m'invita à m'asseoir sur un canapé. Nous avons parlé ainsi pendant quelques minutes, je pense que Maîtresse souhaitait me mettre en confiance pour cette première rencontre.

Je portais sur moi (sous mes vêtements) ma tenue de soumis (celle que je portais depuis Lady Pheno). Je déposais sur la table de salon le collier et la laisse. Nous avons continué à parler encore quelques minutes puis Maîtresse me demanda d'aller me changer. Je revins un court instant après en tenue et en m'agenouillant devant Maîtresse. Elle prit le collier et me le passât. Quel instant magique ! Il restera gravé dans ma mémoire à tout jamais.




Maîtresse me présenta alors sa botte droite. Je la pris entre les mains et commençais à la baiser et la lécher... sans trop d'assurance. C'était notre première rencontre, je sentais déjà que c'était peut-être le début d'une longue histoire et je mourais de peur de la décevoir.








Maîtresse me fit ensuite enlever ses bottes, ce dont je m'acquittais avec délicatesse (surtout ne pas la décevoir). Ses bottes enlevées, je commençais à faire ce que tout soumis digne de ce nom doit faire, baiser ses pieds et les masser pour relaxer Maîtresse. Des coups de martinet venaient rythmer chacun de mes gestes... mon Dieu que c'était bon, Maîtresse savait comment se servir d'un martinet.


Puis, d'un coup de laisse autoritaire, Elle me guida vers son entre jambe. L'ordre était limpide, sans équivoque et ne demandait aucune parole. Il ne me restait qu'à m'exécuter et prier pour que je sois à la hauteur....


... j'ai, je pense, apporté à Maîtresse ce qu'Elle attendait de moi, si bien qu'Elle a décidé de me récompenser à SA manière. J'étais à quatre pattes, je ne voyais rien, mais je sentis quelque chose commencer à me fouiller, doucement et régulièrement. A cette sensation d'abandon à ma Maîtresse, vint s'ajouter une curieuse autre sensation que je ne connaissais pas encore : Maîtresse me malaxait, me pressait, me pinçait mes attributs masculins. Je me sentais entièrement à sa merci... Il faut être un soumis pour avoir le privilège de vivre ça... Merci Maîtresse.


Je redonnais du plaisir à Maîtresse avec la seule partie de mon corps digne de le faire : ma langue. Je crois que Maîtresse a encore aimé car elle me récompensa à nouveau... avec un gode ceinture.

La soirée se termina vers 01h30, je demandais à Maîtresse si elle m'acceptait. Elle me dit "oui"... Je partis me coucher sans pouvoir fermer l'oeil une seule minute. J'avais une très belle Maîtresse qui voulait bien me garder et j'étais persuadé que cette fois ça allait durer, comment, dans ces conditions, pouvais je dormir ?

Je venais de faire connaissance avec Lady Hawke.






jeudi 16 avril 2009

Vers une nouvelle histoire ?

Cette soirée m'avait bien évidemment donné envie de recommencer, car même si je n'avais pas su trouver de Maîtresse, j'avais pu passer quelques bons moments et surtout Lady Pheno avait bien voulu "s'occuper" un peu de moi. La prochaine à laquelle je prévoyais de participer était prévue le 11 avril, et Lady Pheno y serait très certainement. Si Elle voulait bien m'accorder encore un peu de temps, ce serait déjà une très belle soirée. Mais c'est autre chose qui m'attendait pour ce 11 avril.
Cela faisait quelques jours que je dialoguais avec une Dame sur internet. Les échanges étaient d'abord assez banals mais avec le temps je sentis que quelque chose se passait. La fréquence de nos entretiens s'intensifiait en même temps qu'ils devenaient plus précis en abordant la relation D/s, jusqu'au moment où Madame me dit qu'elle souhaitait m'essayer comme soumis. Je croisais les doigts et priais afin que ce souhait devienne une réalité.
A partir de cet instant les choses étaient claires et une date fut décidé par Madame. Nous devions nous voir le soir du... 11 avril.

mercredi 15 avril 2009

Retrouvailles

Me voici de nouveau seul... Depuis Lady Pheno, la soumission est devenue un besoin pour moi. Pour ne plus retomber dans la frustration que j'ai vécu pendant la première partie de ma vie, il ne me restait plus que les soirées sm que Lady Pheno m'avait fait découvrir. En ce milieu du mois de mars il y en avait justement une, à l'espace ABC dans le 18ème.
Avant de m'y rendre, vers 23h00, j'avais une vive appréhension, mais l'envie de me soumettre (et peut-être de rencontrer ma future Maîtresse) était bien plus forte. Après m'être changé je fis le tour des lieux où il y avait déjà beaucoup de monde. C'était un ensemble de trois pièces. La principale au centre, où se trouvait le bar, était grande et équipée de tables basses, chaises, fauteuils et banquettes. Les deux autres pièces étaient de part et d'autre, à droite la piste de danse et à gauche une pièce un peu plus petite, transformée pour la circonstance en donjon équipé.
J'allais me rendre au donjon lorsque je me retrouvai nez à nez avec.... Lady Pheno. Je m'approchai et voulus (dans mon idée) lui baiser la main droite, comme Elle m'avait appris à dire bonjour. Je n'ai pas eu le temps d'esquisser un geste qu'Elle me prit par la nuque et d'un geste vigoureux et autoritaire me mit à quatre pattes, le nez sur le bout de ses bottes. Naturellement, je compris immédiatement comment Lady Pheno voulait que je lui dise "bonjour" et me mis à baiser et lécher ses bottes, pendant qu'Elle m'appliquait une courte fessée à mains nues. Quel bonheur !!! Cela ne dura qu'un trop court instant, le temps de se dire "bonjour" en fait... Je me relevais et Lady Pheno me dit "continues, j'ai des gens à voir, à plus tard..." Ce "à plus tard" fit naître en moi une joie indescriptible.

Je décidais d'aller au donjon. J'assistais à une performance de Claudiacuir, une Domina très connue. Puis je me présentais devant une Maîtresse assise non loin de là. Elle m'autorisa à lécher ses bottes, ce que je fis bien sûr avec délectation. Puis elle me prit par la laisse et m'emmena quelques mètres plus loin pour me mettre en appui sur un tréteau. Je lui offrais ainsi mes fesses qu'elle fouetta allégrement au martinet. Elle m'accorda quelques pauses en me caressant les fesses (nouvelle sensation délicieuse et frissons non moins délicieux), et en glissant ses mains sur ma poitrine pour me pincer les seins. Le jeu terminé, elle alla rejoindre une amie et partit vers le bar. Moi, je restais dans le donjon. Lady Pheno était en train de dominer un soumis. Je l'admirais.

Lorsqu'Elle eut finis son regard croisa le mien. Elle me fit signe d'approcher, me mit à quatre pattes et me cravacha les fesses. Je supporte moins bien la cravache que le martinet, mais c'était un tel bonheur pour moi d'être à nouveau entre les mains de Lady Pheno que je souhaitais que ce moment ne s'arrête jamais. Elle me griffa ensuite le dos comme je ne l'avais jamais été jusqu'à présent, d'une façon rapide et très puissante (j'en ai gardé les marques pendant deux semaines). Elle se mit ensuite assise sur mon dos et après un petit moment, je sentis quelque chose glisser entre mes fesses (le lubrifiant). Lady Peno me sodomisa avec ses doigts pendant que je léchais frénétiquement ses bottes. C'était un peu comme si je voulais effacer en quelques minutes mes erreurs commises par le passé (Lady Pheno m'avait reproché de ne pas être assez motivé pour lécher ses bottes). Elle me fit ensuite lécher le gant qu'Elle venait d'utiliser, puis Elle me dit :"allez, c'est fini..." et me repoussa vers un mur. Voilà, c'était terminé, je venais de vivre mon plus beau moment depuis des mois, depuis que je n'était plus son soumis, mais je devais vite revenir à la réalité, c'était terminé.


Je finis la soirée un peu plus tard, aux pieds d'une autre Domina à lécher ses bottes et ses pieds pendant qu'elle me fouettait les fesses avec une ceinture.
La soirée se termina vers 05h30, je n'avais pas trouvé de Maîtresse et Lady Pheno me hantait plus que jamais.

vendredi 10 avril 2009

... encore déçu

Je revis Maîtresse "S" environ quinze jours plus tard, chez elle. Nous avons parlé de la façon dont nous pouvions envisager cette nouvelle relation. Je me proposai d'être son soumis pour les jeux et la servir dans ses tâches quotidiennes, ce qu'elle accepta.
Je suis venu chez Maîtresse quatre fois en deux semaines. Je faisais ses courses, ses lessives un peu de ménage... et Maîtresse a joué une fois avec moi, jeu où elle m'a fait découvrir une pratique que je ne connaissais pas encore : la bougie.
Malheureusement nous n'avons pas été plus loin. En effet chaque rencontre était prétexte à une participation financière, paiement systématique des courses, aide ponctuelle réclamée (150 euros) pour finir sur une demande de 500 euros pour une participation au loyer.
Là encore Lady Pheno m'a été d'un grand secours, bien qu'elle ne fut pas au courant de cette histoire. Mais elle m'avait dit, lors de notre première entrevue, qu'elle dominait pour le plaisir, que c'était une façon de vivre pour elle, et qu'à ce titre elle se faisait un point d'honneur à n'imposer aucune dépense à ses soumis (sauf pour les choses qui servent directement au soumis, comme le tenue qu'elle m'a choisi par exemple). Je me suis dit que Maîtresse "S" ne m'avait pas vraiment pris que pour le plaisir de me dominer. J'ai donc décidé de cesser de la voir et évité ainsi sans doute de me mettre dans une situation financière compliquée.
Merci à vous Lady Pheno

jeudi 9 avril 2009

Un nouvel espoir...

J'avais l'habitude, depuis quelques mois, de dialoguer sur msn avec une Domina (Maîtresse "S") rencontrée sur internet. Elle suivait ainsi mon évolution avec Lady Pheno. Nous ne correspondions pas très souvent (environ deux fois par mois), mais nous l'avions fait récemment en ce début d'année, et elle était au courant de mes déboires. Elle me dit organiser une après-midi fetish dans un club libertin et m'invita à y participer. Étant seul pour la première fois dans ce genre de réunion, j'émis quelques hésitations. Pour éviter ces appréhensions, Maîtresse "S" me proposa d'être son soumis pour l'après-midi. J'acceptai.
Quelques jours plus tard (un samedi), je me rendis à ce club dans le 3ème arrondissement, il était 14h00. A l'entrée je fus reçu par Maîtresse "S". C'était la première fois que nous nous voyions. Maîtresse "S" était une belle jeune Femme d'une trentaine d'année, grande et fine, de type oriental avec de longs cheveux noirs. Elle était vêtue d'une robe longue serrée à la taille, fendue jusqu'en haut de la cuisse gauche, et chaussée de bottes en cuir noir à talons aiguilles. Elle m'indiqua une petite pièce pour me changer. Lorsque je sortis, ma tenue (la même qu'avec Lady Pheno) l'étonna agréablement. Elle la trouva très jolie, de ce fait elle me donna instantanément un nom de soumis :"Jolly, ce sera ton nom". Elle me passa le collier, attacha la laisse et me fit descendre ainsi au bar où un buffet était dressé. Maîtresse "S" prit place sur un tabouret et me fit mettre à ses pieds. Les gens arrivaient régulièrement et Maîtresse quittait souvent sa place pour les accueillir. Elle me fit donc faire la connaissance de trois de ses amies Dominas et me confia à elles.
Je passai donc une bonne partie de l'après-midi entre les mains des amies de Maîtresse. Je fus insulté et promener en laisse un peu partout. Une de ces Dominas me fit longuement lécher ses chaussures puis lécher et masser ses pieds pendant que Maîtresse "S" faisait une démonstration de bondage. A un moment, alors que je servais de repose pieds, je vis une jeune Femme venir s'asseoir sur un canapé derrière moi. Je ne tardai pas à sentir des talons commencer à me griffer le dos. C'était cette Dame, sans nul doute. Cela dura un petit moment et je ne bougeai pas. Puis la jeune Femme se pencha vers moi et me dit à l'oreille de baisser mon short, mon string et d'écarter les fesses avec les mains, ce que je fis. Je sentis alors le talon de sa chaussure s'insinuer en moi. Elle me prit ensuite par la tête pour me faire tourner vers elle, et, toujours à genoux, me fit lécher ce talon aiguille. Elle me le fit lécher longuement et s'amusa à imprimer des pressions du pied pendant que je suçais servilement. Puis elle se leva et s'en alla sans un mot, sans un regard.
Je restai un moment tout seul. Maîtresse "S" me prit par la laisse et me mit dans une cage à un niveau inférieur pendant qu'elle flagellait un soumis au martinet. Une fois terminé, elle me fit sortir de la cage et me mit en appui sur un mur. Elle baissa mon short et commença à me fouetter les cuisses, les fesses, le dos avec son martinet. Ce fut assez long et plus les coups tombaient plus ils étaient forts. Comme Lady Pheno, Maîtresse "S" s'arrêtait de temps en temps pour me caresser les fesses et je ressentis à chaque fois cette délicieuse sensation de plaisir et de douceur. Quand elle eut fini, je me mis à quatre pattes pour baiser ses bottes, elle appuya sur mes épaules pour me faire mettre à plat ventre et se mit à me piétiner le dos. Je sentis ses talons s'enfoncer dans ma chair. C'était ma première expérience de ce type, j'aimais beaucoup, c'était bon.
Maîtresse "S" me signala que l'après-midi touchait à sa fin. Avant de partir elle me fit parcourir la pièce, à quatre pattes, me tenant en laisse et me fit baiser les pieds de toutes ses amies Dominas en guise d'au revoir.

Après m'être changé je retrouvai Maîtresse "S" à l'entrée. Elle me dit avoir apprécier mon attitude et ma résistance : "je souhaite te garder". Je la remerciai en lui baisant les mains à genoux et sortis.

Il était 19h45 et deux mois après la terrible désillusion de Lady Pheno j'appartenais de nouveau à une Maîtresse.


mercredi 8 avril 2009

Triste fin d'année

Les fêtes sont vite arrivées. Trop vite, je n'avais vraiment pas le coeur à ça. Il a fallu pourtant que je fasse un effort. Je devais passer Noël chez mes enfants. Pour eux je me devais de faire bonne figure. Ce fut fait, mais mon Dieu que ce fut dur. Il a fallu une fois de plus prendre sur moi. L'alcool aidant, je pense que mon état d'esprit du moment est passé inaperçu. Mais il m'était impossible de prolonger mon séjour. Je n'aurais pas donné le change longtemps, aussi, dès le 25 je revins à Paris.
Je passais le Nouvel An seul, en tête à tête avec le téléviseur. Je ne m'étendrais pas plus sur cet "inoubliable" passage à 2009.
Lady Pheno, je pense à vous.
Que me réserve cette nouvelle année ?

jeudi 2 avril 2009

Lady Pheno, épilogue d'une merveilleuse et douloureuse histoire

Je me suis reposé un peu le dimanche matin. Au début de notre relation Maîtresse m'avait ordonné de lui envoyer un sms chaque jour pour lui souhaiter une bonne journée. Je m'acquittais de ma tâche quotidienne vers midi. Depuis mon réveil je n'arrêtais pas de penser à la sombre soirée d'hier. Je savais que j'avais commis plusieurs fautes et j'appréhendais déjà terriblement la réaction de Maîtresse. Mon caractère naturellement angoissé ne faisait qu'accentuer ce profond malaise qui m'habitait depuis mon retour de la soirée.
La journée passait et aucune nouvelle de Maîtresse. Mon inquiétude grandissait au fur et à mesure du temps. Je décidais de provoquer le dialogue en envoyant sms dans l'après-midi, pour lui demander l'autorisation de lui téléphoner. La réponse fut rapide et sans appel : "non". Mon inquiétude était en train de tourner à l'affolement.
Ce fut en début de soirée que je reçus un message de Maîtresse. Elle y énumérait toutes les fautes que j'avais accumulé ces dernières heures : l'avoir obligé de me donner rendez-vous à la sortie du restaurant parce que je n'étais pas capable de me rendre tout seul à la soirée ; ne pas avoir su trouver la place pour me mettre à ses pieds ; avoir gémis lors du travail anal ; avoir provoqué la chute de "M." ; avoir quitté le sous-sol alors que j'étais puni et avais l'ordre de ne pas bouger ; avoir envoyé deux sms alors que, dès le début de ma soumission, Maîtresse m'avait bien spécifié : pas plus d'un sms par jour. Maîtresse poursuivait son message par quelques phrases où elle exprimait sa colère vis à vis de cette attitude impardonnable et terminait par : "à partir de maintenant tu n'es plus un de mes soumis".
Je l'ai lu trois fois cette phrase. Je me suis d'abord dit que j'avais manquer des mots, que j'avais lu trop vite. Finalement non, la phrase était complète et cohérente. Alors j'ai relu les phrases précédentes, peut-être avais je loupé quelque chose. Maîtresse me disait peut-être que ça ne serait que pour une période... Non... Il n'y avait aucune alternative
Je suis resté un long moment devant mon écran, le regard fixe, hagard. J'ai été pris à la poitrine, oppressé, anxieux, affolé ce n'était pas possible, ça ne pouvait pas être vrai, ça allait continuer...
Puis j'ai senti une petite douleur à la gorge en même temps que mes yeux se sont humidifiés, et j'ai pleuré. Les larmes coulaient toutes seules, sur chaque joue, pendant que je continuais à regarder le message, livide. Puis j'ai commencé à hoqueter et je me suis effondré. Quelques instants plus tard, après avoir essayé de récupérer, je me suis dit qu'il fallait faire quelque chose. Je savais que Maîtresse ne reviendrait pas sur sa décision, mais je ne pouvais pas rester sans rien faire. Peut-être qu'en implorant sa pitié, en proposant qu'elle me reprenne pour une période d'essai, qu'elle me laisse encore une toute petite chance quoi...Message, sms, coups de téléphone, rien n'y a fait.
J'étais anéanti. Tout allait si bien. J'avais enfin trouvé ma voie, avec une Maîtresse sublime. J'aimais vivre, je m'épanouissais au travail et dans chaque moment de la vie depuis que Maîtresse Pheno me dominait. Cela faisait tant d'année que j'attendais ça... Je ne pensais plus qu'à ce qui venait de m'arriver. J'étais physiquement au travail mais absent moralement, incapable de faire quoi que ce soit. Je me levais avec Maîtresse, je travaillais avec Maîtresse, je dormais avec Maîtresse... Très vite je me suis dit que la vie ne pouvait plus continuer ainsi. Ce n'est pas facile de penser à ça, ce n'est pas facile de le dire, mais j'étais dans un tel désarroi que j'avais la ferme intention de mettre fin à mes jours. J'ai mis une journée à y penser, à savoir comment faire, où le faire et quand le faire. Tout devait s'arrêter où tout avait commencé, à la station de métro qui m'avait permis de voir, de rencontrer le première fois Maîtresse. En début de soirée j'enverrais un mail à Maîtresse pour lui demander pardon de mon geste, je passerais la soirée et la nuit à boire et faire une "méga fête", et au petit matin, vers 05h30, lors des premières rames, je partirais. C'était un bon plan. Maintenant il fallait prendre la décision, choisir le jour...
Une amie était au courant de ma vie "secrète". Elle a rapidement remarqué mon abattement et m'a pris entre quatre yeux un matin. Elle a vu que j'allais mal et s'est doutée que je risquais de faire une bêtise. Après s'être parlé franchement pendant un moment, elle m'a ramené à la raison : la vie devait continuer et je me devais d'aller plus loin dans la recherche de mon plaisir.
Alors j'ai décidé de continuer, mais Maîtresse Pheno, pardon, Lady Pheno (je ne lui appartenait plus) était toujours en moi.