mardi 31 mars 2009

Lady Pheno, troisième et dernier acte

Je reçus l'ordre de venir à la soirée par mail. C'était un samedi soir, comme très souvent. Maîtresse me dit qu'un autre de ses soumis, M., serait également présent. Le samedi matin je cherchais sur un plan comment m'y rendre. J'avais beau chercher, je ne trouvais pas la rue en question. En fin d'après-midi je décidais de téléphoner à Maîtresse pour lui demander si elle pouvait me donner quelques précisions quant à la situation géographique du lieu. Elle me donna rendez vous à 22h00 devant le restaurant dans lequel elle devait dîner.

J'étais à l'heure dite devant le restaurant. Maîtresse en sortit accompagnée d'une amie. Je m'avançai vers elles. Maîtresse, comme à son habitude, me tendit sa main droite afin que je l'embrasse pour la saluer. C'était toujours un bonheur intense que de baisser la tête devant Maîtresse et d'avoir le privilège de pouvoir baiser cette main divine. Je me tournais vers son amie. Elle me tendit également sa main droite (c'était bien une Domina aussi). Presque aussitôt le second soumis nous rejoignit et nous sommes partis immédiatement à l'établissement où se tenait la soirée, dans le 3ème arrondissement.
En arrivant, le rituel était le même : trouver un endroit pour se changer et mettre ma tenue de soumis. Ce fut vite fait et je rejoignis Maîtresse dans une petite salle pleine de monde. Maîtresse était assise à coté de son amie. "M." vint également. Maîtresse enleva une de ses bottes et ordonna à "M." de lui masser le pied, tandis qu'elle me fit signe d'approcher. Elle me dit de prendre une flûte de Champagne et d'aller la servir à une jeune Femme qui s'occupait de l'entrée. A mon retour je n'avais plus assez de place de libre pour me mettre aux pieds de Maîtresse. Je me mis donc un peu en retrait. J'enviais "M." qui massait toujours le pied de Maîtresse, massage entrecoupés de baisers, quelle chance il avait.

Un peu plus tard dans la soirée Maîtresse nous fit descendre dans une salle au sous sol. Elle nous fit mettre à quatre pattes "M." et moi au milieu de la pièce. Après nous avoir attaché l'un à l'autre par des chaînes, elle commença à nous fouetter à tour de rôle. La flagellation terminée, Maîtresse entama mon travail anal, toujours pour me préparer à la sodomie qu'elle voulait m'imposer. Et là, je ne sais pas pourquoi, peut-être parce que ses va et vient étaient plus violents, je me suis mis à gémir. J'émettais un gémissement presque à chaque fois que Maîtresse enfonçait ses doigts.
Le travail anal terminé Maîtresse nous donna l'ordre de nous relever. Nous étions dans la même position sans bouger depuis un bon moment, et lorsque je commençais à me lever, je sentis soudain que mes muscles étaient complètement engourdis. Pour ne pas perdre l'équilibre et tomber, je fis une tentative un peu brusque pour me relever. Mais nous étions attachés court "M." et moi, et mes mouvements ont entraîné "M." dans une chute. Maîtresse me réprimanda tout de suite. Elle nous libéra, m'intima l'ordre d'attendre seul assis sur un banc du sous-sol tandis qu'elle remontait avec "M." et son amie. Je ne sais pas combien de temps je suis resté là assis, longtemps, c'est certain. Je savais que Maîtresse était en colère après moi. J'avais une irrésistible envie de la retrouver, me jeter à ses pieds et essayer de me faire pardonner, mais j'attendais toujours. La soirée se poursuivait autour de moi. Les soumis se soumettaient, les Maîtresses dominaient et moi j'étais assis là, seul. Au bout d'un moment je me suis dit que j'allais monter, juste pour regarder si Maîtresse était toujours là. Je regarderai discrètement et, si elle était toujours là, je redescendrai discrètement, sans me faire voir. C'est ce que je fis. Je remontais doucement l'escalier. Malheureusement, en arrivant à l'étage je me retrouvais face à face avec Maîtresse. Le regard qu'elle m'adressa me glaça le sang. Je redescendis immédiatement.
Plus tard Maîtresse redescendit dans la salle pour y faire une performance avec un autre soumis. Une fois fini, elle me prit par la laisse pour me remonter. Je finissais la soirée en lui servant de tapis de pieds. Les talons de ses bottes s'amusaient avec mon corps et s'insinuaient dans ma bouche pour que je les suce. Puis Maîtresse me donna son ticket de vestiaire pour que j'aille prendre ses affaires, la soirée était terminée. J'apportais les affaires de Maîtresse puis j'allais me changer. Lorsque je revins, Maîtresse n'était plus là.

lundi 30 mars 2009

Lady Pheno, deuxième acte

Il s'en suivi une série de sorties avec Maîtresse le soir ou l'après-midi, principalement dans un club sm de la capitale. Maîtresse s'est attachée à me faire devenir un bon soumis et le travail était énorme. Je ne connaissais rien en la matière, à part ma parenthèse de six mois de soumission chez Maîtresse M. où je n'avais d'ailleurs rien appris des jeux.

La première chose que j'appris fut d'être en permanence à ma place : aux pieds de Maîtresse. Dès que Maîtresse décidait de se mettre assise, et sauf ordre contraire de sa part, je devais être à ses pieds. J'appris également par une pression sur la laisse ou une main de Maîtresse appuyée sur ma tête, de lécher ses bottes, et pas seulement le dessus mais les semelles aussi ainsi que lécher et sucer les talons. Maîtresse adorait cela.


Maîtresse me tenait tout le temps en laisse et elle exigeait que lors de nos déplacements je la suive à quatre pattes. Je me suis donc vite habitué à marcher ainsi, même dans des passages plus compliqués tel qu'un escalier par exemple.
Maîtresse m'a aussi vite appris que je devais respect et obéissance à ses amies. Ainsi lorsqu'elles arrivaient dans une soirée et qu'elles venaient dire bonjour à Maîtresse Pheno, je leur rendais hommage en leur baisant les pieds. Un soir Maîtresse m'a prêté à une de ses amies Dominas. J'ai passé ainsi un long moment à lécher ses bottes.








Je découvris également le plaisir de la fessée. Les premières furent douloureuses, mais je me suis mis très vite à les aimer et Maîtresse fessait magistralement bien. Son instrument de prédilection était le martinet, mais elle se servait très bien aussi de la cravache et de ses mains tout simplement.


Je fus fessé un peu dans toutes les positions, à quatre pattes, appuyé sur un banc ou sur un mur, attaché à une croix de saint André ou à une barre d'immobilisation fixée au plafond.


Maîtresse commençait généralement par bien chauffer les fesses et le haut des cuisses alternant le martinet et les mains, puis elle faisait une pause en me caressant les fesses devenues très sensibles. Mon Dieu qu'elles étaient bonnes ces caresses. Je n'ai jamais connu de telles sensations. Des frissons de plaisir me parcourraient tout le corps et la fessée reprenait de plus belle. Jamais je n'aurais penser aimer cela. Lorsque c'était fini, je baisais les pieds de Maîtresse pour le remercier.






Maîtresse avait décidé de me sodomiser avec un gode ceinture, mais je n'avais encore jamais été sodomisé. Dans sa grande bonté, Maîtresse me fit du travail anal à chaque fois afin de me préparer d'une façon progressive et de ne pas me blesser.
C'est la pratique que j'appréhendais le plus. Je ne l'apprécie pas énormément, mais c'était la volonté de Maîtresse et je m'y pliais donc avec plaisir Tout ce qui était matière à faire plaisir à Maîtresse devenait une priorité pour moi. Elle a commencé par l'introduction d'un doigt, puis deux, puis trois. Cela arrivait presque toujours après une fessée. Lorsque les coups de martinet s'arrêtaient et que j'entendais le bruit d'un gant de latex qu'on enfile, je savais quelle était la suite des évènements. C'était, après le bruit du gant, la sensation du lubrifiant qui s'écoule entre les fesses, et enfin l'introduction et les va et vient... J'acceptais docilement en essayant de n'émettre aucun gémissement. Et s'il y en avait, je faisais en sorte qu'ils soient sourds, presque inaudibles. Maîtresse n'aimait pas entendre son soumis gémir.

J'ai suivi mon dressage avec une intensité sans égale à tout ce que j'avais vécu jusqu'à présent. Chaque soirée étaient différente, Maîtresse innovait toujours dans les jeux. Elle a également toujours respecté mon interdit : les hommes. Dès le début je lui avais fait part de mon refus total d'avoir ne serait ce que le moindre contact avec un homme (qu'il soit dominant ou soumis). Maîtresse a toujours respecté et fait respecter cet interdit, même lorsque j'étais dans les situations les plus vulnérables (attaché à une croix ou une barre).

Je savais que j'avais encore beaucoup de progrès à faire, mais j'avais enfin trouvé ma voie, je me sentais bien, heureux...

dimanche 29 mars 2009

Lady Pheno, premier acte

Ce qui va suivre n'est pas facile à écrire pour moi, car il s'agit d'un épisode aussi magnifique, fabuleux que douloureux.
Il fut décidé de se rencontrer pour faire connaissance et parler de la soirée qui s'annonçait. C'était un dimanche après-midi, il était 14h30. J'attendais à la sortie d'une station de métro et je la vis arriver, exactement à l'heure. C'était une jeune Femme d'une beauté extraordinaire qui s'avançait vers moi, fine et élancée avec de magnifiques cheveux roux.
Nous nous sommes mis à la terrasse d'un café et avons parlé pendant un peu plus d'une heure. Nous avons pu échanger nos idées et j'ai été impressionné par sa détermination. Alors que j'étais plein de doutes et d'appréhensions, elle me répondait d'un ton assuré ne souffrant d'aucune contestation.
Nous nous sommes revus quelques jours plus tard dans une "boutique sm" bien connue de la capitale pour me choisir une tenue. Lady Pheno choisit une cagoule, un haut en latex, un short en vinyle, un collier et une laisse. A l'issue de ces achats, nous en avons profité pour passer encore un petit moment pour parler. J'en ai été très touché. Lady Pheno savait que j'allais vers ma première véritable expérience, et elle faisait tout pour me rassurer.
Le samedi suivant nous nous sommes rendus à cette fameuse soirée pour laquelle je me posais tant de questions.



Une fois entrés nous nous sommes changés. Lady Pheno m'a posé mon collier et ma laisse. Ce moment a été exceptionnellement fort pour moi. Je devenais enfin ce que j'avais toujours voulu être et cette pose de collier était d'une symbolique extrêmement forte.
Maîtresse a pris la laisse en mains et dit en me tirant :"on y va". A cet instant, j'entrais réellement dans ma nouvelle vie.
Maîtresse se mit à une table. En s'asseyant, elle me mis à ses pieds d'une ferme pression sur la laisse. J'étais aux anges. Je sus immédiatement ce que j'avais à faire et me mis à lécher avec dévotion les bottes de Maîtresse. Je fus promené tout au long de la soirée par Maîtresse d'une salle à l'autre. Je l'ai vu dominer beaucoup de soumis, les fouettant ou les sodomisant. Puis ce fut à mon tour. Maîtresse me fit mettre à quatre pattes en me faisant prendre appui des bras sur un banc. Puis elle commença à me fouetter avec son martinet. C'était merveilleux mais surprenant pour moi qui ne connaissais pas. Les coups tombaient avec une régularité de métronome. Ils me faisaient mal mais j'étais heureux, vraiment heureux que Maîtresse daigne s'occuper de moi. C'était la première vraie fessée que je prenais. C'était fantastique, j'étais très très fier.
La soirée terminée nous sommes sortis il était 5h30. J'avais l'impression que nous étions entrés il y a à peine une ou deux heures. J'accompagnais Maîtresse sur le trajet du retour. Elle me dit que mon attitude avait été positive et qu'elle souhaitait me garder comme soumis. Je n'arrivais pas à y croire : j'étais devenu le soumis de Lady Pheno. C'était complètement fou. J'étais heureux, tout simplement heureux.
J'ai quitté Maîtresse Pheno non loin de chez elle, à la sortie du métro, puis je rentrais chez moi. Avant, je fis une halte dans une brasserie à Montparnasse. Le jour se levait et j'avais la tête ailleurs, j'étais sur un nuage. Je n'arrivais pas encore à croire que c'était vrai : j'étais le soumis de Lady Pheno.

vendredi 27 mars 2009

Que Faire ?

Je suis seul, un peu perdu, mais cette expérience m'a fait avancé. Je sais maintenant un peu plus ce que je cherche. Maîtresse me manque, je suis resté un moment complètement paumé, déprimé même. Puis je me suis dit qu'il fallait continuer et aller chercher ce dont j'avais tant envie.
J'ai donc décidé d'essayer un site spécialisé, et un jour de juillet un pseudo m'a répondu. Nous avons correspondu plus ou moins régulièrement jusqu'au mois de septembre. Et là, tout s'est accéléré. Pheno (le pseudo en question) a décidé de me prendre pour l'accompagner dans une soirée fétish deux semaines plus tard. Il fallait que je me prépare intellectuellement puis, il a été rapidement évident que j'avais besoin d'une tenue pour satisfaire au dress code en vigueur dans ce type de soirée.
Une première rencontre fut donc décidée une semaine avant la soirée. C'était un dimanche, il était 14h30 et j'allais rencontrer Lady Pheno, une Maîtresse à qui je dois tout, et qui m'a marqué à jamais. Toute ma vie je lui serai reconnaissant de ce qu'elle m'a fait vivre, de ce qu'elle m'a fait découvrir, de ce qu'elle m'a appris.

samedi 21 mars 2009

Une nouvelle expérience

Ne sachant que faire j'ai décidé de me tourner vers un site de rencontre sur internet. Je m'y suis inscrit. J'ai choisi un pseudo et rédigé une fiche ne laissant aucune équivoque sur la nature de ma recherche.
Après quelques jours de connexion j'ai fait la connaissance d'une jeune Femme. Tout a été très rapide. C'était un soir de janvier, il était environ 22h00. Après un court dialogue nous nous sommes retrouvés sur MSN. Nous avons parlé pendant une trentaine de minutes (elle a exigé que je me montre à la webcam). Une heure plus tard je me trouvais en face de celle qui allait devenir ma première Maîtresse. Elle voulait disposer immédiatement d'un soumis et m'a donc donné rendez-vous le soir même. Elle est venue me retrouver à la sortie d'une gare RER et nous avons été prendre un verre dans un café non loin de là.
Nous avons parlé de ce qu'elle attendait de moi, de ce que je recherchais, de mes disponibilités... La jeune Femme était très belle (elle avait 36 ans). Nous sommes restés ensemble une petite heure, puis elle devait partir en soirée. Avant de me laisser, elle me dit qu'elle allait réfléchir et que, si je lui convenais elle me téléphonerait le lendemain.
J'ai reçu la communication le samedi en fin d'après-midi. Je devais me trouver le soir même place de la Nation où elle me récupérerait pour aller chez elle : je commençais ma première expérience de soumis.
J'ai alors vécu six mois de soumission à domicile. Maîtresse m'a donné un matelas mousse que j'installais dans la cuisine pour passer la nuit. Le matin je me réveillais une vingtaine de minute avant Maîtresse. Je lui préparais son petit déjeuner et allais la réveiller en lui massant et baisant les pieds. Le soir, lorsque Maîtresse décidais de se coucher, généralement je la massais de la tête aux pieds, pieds que je massais jusqu'à ce que Maîtresse s'endorme. Durant la journée je m'occupais des tâches ménagères, des courses et tout autres petits tracas indignes de ma Maîtresse.
Je me chargeais aussi d'organiser quelques sorties le week-end, théâtre, cinéma, restaurant. Je faisais aussi régulièrement des petits cadeaux à Maîtresse. La voire contente, joyeuse était un véritable bonheur pour moi.
Hélas, comme souvent dans les belles histoires, il y avait un problème. J'aime les jeux, j'aime être humilié, insulté et fouetté. Lors des ces six mois, Maîtresse n'a joué que trois fois avec moi. De plus, plus le temps passait, plus elle semblait s'éloigner de ces jeux. Ce n'était plus possible pour moi. Elle m'avait fait toucher du doigt quelque chose que je recherchais depuis des dizaines d'années, puis me le retirait petit à petit. Certes elle ne m'a fait connaître que des balbutiements dans ces jeux (petite fessées, insultes, promenade en laisse...), mais j'ai tout de suite senti que j'adorais cela. Je voulais aller bien plus loin.
J'ai donc décidé un soir de le lui dire et de lui demander si elle ne voulait pas s'amuser un peu plus souvent avec moi. Je lui ai peut-être dit sur un ton un peu amère, toujours est-il que le ton de la conversation est monté. Maîtresse ne voulait pas en entendre parler et nous nous sommes quittés.

vendredi 20 mars 2009

Ma première rencontre avec une Dominatrice

Une fois divorcé j'ai voulu très rapidement connaître enfin ce moment que j'attendais depuis tant d'années : me soumettre à une Maîtresse. Mais je n'y connaissais strictement rien. Je n'avais aucune idée de ce que je pouvais faire... Enfin presque...
Au cours de mes navigation sur internet j'ai vu que de nombreuses Maîtresses professionnelles disposaient d'un site. L'une d'entre elles a retenu mon attention. J'étais littéralement fasciné par sa beauté. Grâce aux coordonnées apparaissant sur le site, je lui ai téléphoné une première fois pour savoir comment cela se passait, où je devais me rendre et... le prix à payer.
Après un second coup de téléphone je me suis retrouvé dans un "institut de beauté" dans un quartier populaire de la capitale. Maîtresse m'y a reçu chaleureusement et m'a fait entrer dans son "donjon". Après avoir donné mon "offrande", sur son ordre, je me suis déshabillé.
Se sont succédés ensuite adoration de ses mules à talons, de ses pieds, insultes et quelques coups de cravache.
La séance a duré à peine une heure et je me suis retrouvé plutôt déçu en quittant l'institut. Cette première approche de mon engagement en soumission ne correspondait pas du tout à ce que je m'imaginais. La séance a été complètement impersonnelle, m'a paru très "chronométrée" et puis... le fait de donner une offrande.... tout cela ne correspondait absolument pas à l'idée que je me faisais de la soumission.
Je décidais donc de faire de nouvelles recherches, mais où, comment, par quels moyens... Autant de questions qui commençaient sérieusement à me miner car mon impatience se faisait de plus en plus grandissante.

Une moitié de vie

J'ai senti mon désir de soumission dès mon adolescence. Alors que mes copains ne pensaient qu'à flirter je rêvais déjà de me jeter aux pieds de mes amies, sans jamais oser le faire bien évidemment.

Quelques années plus tard j'ai fait la connaissance de celle qui allait devenir mon épouse. Dès les premiers jours de vie commune je lui ai fait part de ma conception particulière de la relation "homme - Femme". Elle refusa catégoriquement d'adhérer à cette idée. J'ai donc mis de coté mon envie, en passant des années à fantasmer. Et puis la vie et le temps ont fait que nous nous sommes progressivement éloignés l'un de l'autre, les sentiments ont disparu, et logiquement, nous avons divorcé.

C'est alors que j'ai décidé de vivre ma soumission.